Cyclone
2000
Kent
Kent
Cyclone
Durant la préparation du spectacle "Enfin Seuls !" avec Enzo Enzo, je me demandais ce que je pourrais faire d'intéressant par la suite.
À ce moment-là, en pleines répétitions de claquettes, de pas de danse et de duos vocaux, riches en harmonies, l'idée de remonter seul sur une scène chanter mon répertoire, me semblait bien fade.
Et puis, sournoisement, au fil de la longue tournée que nous avons faite, une évidence a fait son chemin : à ce stade de ma carrière, un retour à la simplicité était bien plus excitant qu'une escalade au sommet de la sophistication. J'ai soudain eu envie de faire des chansons spontanées.
Des chansons immédiates qui parlent autant au corps qu'à la tête.
C'est dans cet état d'esprit que je me suis envolé avec Jacques Bastello pour Los Angeles. J'y ai retrouvé Mitchell Froom et Tchad Blake au studio Sunset Sound Factory. Bien qu'entourés d''excellents musiciens américains, la réalisation du disque ne fut pas aussi naturelle que prévu. Je dus retourner quelques temps plus tard à New York pour l'aboutir, il n'est pas toujours facile d'être un chanteur français aux USA.
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Crédits
Enregistré et mixé par Tchad Blake assisté d'Adams Samuel à Sunset Sound Factory (Los Angeles)
"Tentation" et "Tout est là" enregistrés par Juan Garcia assisté de Reto Peter à Magic Shop (New York)
Produit par Mitchell Froom & Tchad Blake
Production exécutive : Alan Gac
(c) Photos et artwork : Transit, Mathilde Damour et Thomas Delepière
(p) & (c) Barclay
Durée : 02:36
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Jacques Bastello
Parait que les hommes naissent libres et égaux en droits
Ça dépend de tes rêves ça dépend de tes choix
Dans la cour des immeubles avec vue sur la terre
Les rêves ont un arrière-parfum de hamburger
Alors dans ce contexte être un parfait naïf
Ça fait voir un paquebot quand on n'a qu'un esquif
Ça fait croire au Loto au partage des chances
Mais dès qu'on lève la tête on sent une résistance
Résistance du dehors résistance du dedans
Carapace de fer transparent
Elle plombe les mouvements et donne le sentiment
Si démobilisant d'usurper son talent
Le complexe est tenace même quand on l'exhorte
Il a peur de salir les poignées des portes
Qu'il faudrait défoncer pour qu'éclate la grâce
Et qu'elle se foute d'être une fille de qu'importe
Toute cette indulgence cette condescendance
Quand le héros gêné sort de sa carapace
Tous ces regards mouillés devant sa maladresse
Il bafouille et trébuche pour se faire une place
Il est là à douter à mater son reflet
Une coupe à la main pour s'offrir une aisance
Et lire malgré lui des sourires double face
Parano incurable au passé imparfait
Privilèges normaux
Qualités essentielles
Une offre exceptionnelle
N'oublie pas mon coco
C'est inscrit dans ton dos
À la place de tes ailes
En lettres de rappel
Sur le cuir de ta peau
Y'a la griffe Class Prolo
À jamais Class Prolo
Class Prolo
Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Jacques Bastello
Parait que les hommes naissent libres et égaux en droits
Ça dépend de tes rêves ça dépend de tes choix
Dans la cour des immeubles avec vue sur la terre
Les rêves ont un arrière-parfum de hamburger
Alors dans ce contexte être un parfait naïf
Ça fait voir un paquebot quand on n'a qu'un esquif
Ça fait croire au Loto au partage des chances
Mais dès qu'on lève la tête on sent une résistance
Résistance du dehors résistance du dedans
Carapace de fer transparent
Elle plombe les mouvements et donne le sentiment
Si démobilisant d'usurper son talent
Le complexe est tenace même quand on l'exhorte
Il a peur de salir les poignées des portes
Qu'il faudrait défoncer pour qu'éclate la grâce
Et qu'elle se foute d'être une fille de qu'importe
Toute cette indulgence cette condescendance
Quand le héros gêné sort de sa carapace
Tous ces regards mouillés devant sa maladresse
Il bafouille et trébuche pour se faire une place
Il est là à douter à mater son reflet
Une coupe à la main pour s'offrir une aisance
Et lire malgré lui des sourires double face
Parano incurable au passé imparfait
Privilèges normaux
Qualités essentielles
Une offre exceptionnelle
N'oublie pas mon coco
C'est inscrit dans ton dos
À la place de tes ailes
En lettres de rappel
Sur le cuir de ta peau
Y'a la griffe Class Prolo
À jamais Class Prolo
Class Prolo
Thoobett
Durée : 03:17
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Jacques Bastello
Allez savoir quand ça se déclare
Quand ça décolle quand ça démarre
On est tout seul dans son désert
Ou noyé dans les courants d'air
Et tout-à-coup sans crier gare
Une connivence sort du brouillard
C'est lui c'est elle et ça vous serre
Dans ses bras sans faire de manière
Appelons ça l'intime connexion
Rien ne peut résister à l'intime connexion
Allez savoir quand ça s'égare
Quand ça déconne quand ça s'effare
Ça se raidit se met en deuil
Quand l'amour vient vous faire de l'œil
La confidence tourne le dos
La méfiance a le dernier mot
On est les rois tant qu'on est deux
Dès qu'on est trois ça fait des nœuds
Appelons ça l'intime connexion
Rien ne peut résister à l'intime connexion
Même les plus grandes convictions
Tombent à genoux devant l'intime connexion
Allez savoir quand ça s'en va
Et si ça meurt quand ça s'en va
Rappelez-vous tous ses défauts
Tous les revers de son ego
Laissez pourrir sous la rancœur
Le cadavre de la douleur
Un an un jour une petite heure
Il y poussera une fleur
Appelons ça l'intime connexion
Rien ne peut résister à l'intime connexion
Même les plus grandes convictions
Tombent à genoux devant l'intime connexion
Appelons ça l'intime connexion
Tombez à genoux devant l'intime connexion
Appelons ça l'intime connexion
Tombez à genoux devant l'intime connexion
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Jacques Bastello
Allez savoir quand ça se déclare
Quand ça décolle quand ça démarre
On est tout seul dans son désert
Ou noyé dans les courants d'air
Et tout-à-coup sans crier gare
Une connivence sort du brouillard
C'est lui c'est elle et ça vous serre
Dans ses bras sans faire de manière
Appelons ça l'intime connexion
Rien ne peut résister à l'intime connexion
Allez savoir quand ça s'égare
Quand ça déconne quand ça s'effare
Ça se raidit se met en deuil
Quand l'amour vient vous faire de l'œil
La confidence tourne le dos
La méfiance a le dernier mot
On est les rois tant qu'on est deux
Dès qu'on est trois ça fait des nœuds
Appelons ça l'intime connexion
Rien ne peut résister à l'intime connexion
Même les plus grandes convictions
Tombent à genoux devant l'intime connexion
Allez savoir quand ça s'en va
Et si ça meurt quand ça s'en va
Rappelez-vous tous ses défauts
Tous les revers de son ego
Laissez pourrir sous la rancœur
Le cadavre de la douleur
Un an un jour une petite heure
Il y poussera une fleur
Appelons ça l'intime connexion
Rien ne peut résister à l'intime connexion
Même les plus grandes convictions
Tombent à genoux devant l'intime connexion
Appelons ça l'intime connexion
Tombez à genoux devant l'intime connexion
Appelons ça l'intime connexion
Tombez à genoux devant l'intime connexion
Editons Thoobett
Durée : 02:50
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : M. Etzioni/H.P. Huguet
Je crois que tout est là
Pour une vie meilleure
Tout est là
Elle attend son heure
Mais on oublie tout et puis on s'habitue
Aux histoires qui descendent dans la rue
Pourtant tout est là
Inutile de chercher ailleurs
Tout est là
La liste des erreurs
Tout est là
Les secrets du malheur
Mais on oublie tout et puis on s'habitue
À l'Histoire qui défile dans la rue
On se dit aussi que tout est joué d'avance
Inutile de changer de cadence
On guette l'arrivée d'un ange
Qui nous montrerait le chemin
Vers un futur qui nous arrange
Alors que déjà dans nos mains
Tout est là
Pour une vie meilleure
Tout est là
Elle attend son heure
Tout est là
On en a gros sur le cœur
Car la route est longue et bordée de snipers
Tête vide rivée sur le viseur
Et au bout de cette route y'a toujours une lueur
Qui brille un peu plus à chaque fois
Qu'un homme s'y aventure
Pour voir si tout est là
EMI Publishing France / Prophet Sharing Music / Éditions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : M. Etzioni/H.P. Huguet
Je crois que tout est là
Pour une vie meilleure
Tout est là
Elle attend son heure
Mais on oublie tout et puis on s'habitue
Aux histoires qui descendent dans la rue
Pourtant tout est là
Inutile de chercher ailleurs
Tout est là
La liste des erreurs
Tout est là
Les secrets du malheur
Mais on oublie tout et puis on s'habitue
À l'Histoire qui défile dans la rue
On se dit aussi que tout est joué d'avance
Inutile de changer de cadence
On guette l'arrivée d'un ange
Qui nous montrerait le chemin
Vers un futur qui nous arrange
Alors que déjà dans nos mains
Tout est là
Pour une vie meilleure
Tout est là
Elle attend son heure
Tout est là
On en a gros sur le cœur
Car la route est longue et bordée de snipers
Tête vide rivée sur le viseur
Et au bout de cette route y'a toujours une lueur
Qui brille un peu plus à chaque fois
Qu'un homme s'y aventure
Pour voir si tout est là
EMI Publishing France / Prophet Sharing Music / Éditions Thoobett
Durée : 03:15
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Une bonne gueule en capital
Un CV continental
La planète pour se distraire
Des millions de gens à qui plaire
Plutôt grands et plutôt forts
Plutôt vivants même morts
Plutôt sourire plutôt chance
Plutôt la belle existence
Les "gens du monde"
Baignent ton cœur dans l'éther
Les "gens du monde"
Rendent tes peines éphémères
Les "gens du monde",
Le monde c'est pas leur problème
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Tu as juste tes deux mains
Pour cacher ton chagrin
La colère en caractère
Pour repousser tes misères
Heureusement ils sont là
Tu les regardes et ça va
Un coup d'œil à leur poster
Et tu retrouves la lumière
Les "gens du monde"
Tes cris et ta détresse
Les "gens du monde"
Tu sais, ça les agresse
Les "gens du monde"
Le monde c'est pas leur problème
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Et quand ils ont des ennuis
Ce sont les tiens aussi
Ils t'implorent du regard
Et tu oublies leurs écarts
Ils sont d'innocents coupables
Ils sont toujours admirables
Et quand bien même ils t'ignorent
Il faut que tu les adores
Les "gens du monde"
Il faut pas qu'on les blesse
Les "gens du monde"
Il faut qu'on les caresse
Les "gens du monde"
Le monde c'est pas leur problème
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Une bonne gueule en capital
Un CV continental
La planète pour se distraire
Des millions de gens à qui plaire
Plutôt grands et plutôt forts
Plutôt vivants même morts
Plutôt sourire plutôt chance
Plutôt la belle existence
Les "gens du monde"
Baignent ton cœur dans l'éther
Les "gens du monde"
Rendent tes peines éphémères
Les "gens du monde",
Le monde c'est pas leur problème
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Tu as juste tes deux mains
Pour cacher ton chagrin
La colère en caractère
Pour repousser tes misères
Heureusement ils sont là
Tu les regardes et ça va
Un coup d'œil à leur poster
Et tu retrouves la lumière
Les "gens du monde"
Tes cris et ta détresse
Les "gens du monde"
Tu sais, ça les agresse
Les "gens du monde"
Le monde c'est pas leur problème
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Et quand ils ont des ennuis
Ce sont les tiens aussi
Ils t'implorent du regard
Et tu oublies leurs écarts
Ils sont d'innocents coupables
Ils sont toujours admirables
Et quand bien même ils t'ignorent
Il faut que tu les adores
Les "gens du monde"
Il faut pas qu'on les blesse
Les "gens du monde"
Il faut qu'on les caresse
Les "gens du monde"
Le monde c'est pas leur problème
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Les "gens du monde"
Veulent seulement qu'on les aime
Editons Thoobett
Durée : 03:15
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Jacques Bastello
Ça se balade en ville
Ça porte sa vie dans une poche
Ça ressemble à un prince
Ou bien ça ressemble à une cloche
Ça sourit aux enfants
Ça fait pleurer les femmes
Ça regrette mais ça fout le camp
Ça se file des coups
Ça se tombe dans les bras
Et ça se prend par le cou
Ça s'appelle Pierre ou Paul
Ça se coule dans un moule
Ça se perd dans la foule
Ça pourrait être un homme
Ça tire sur des passants
Ça gueule dans un micro
Ça se jette d'un pont
Ou bien ça s'en va sac au dos
Ça mesure les étoiles
Ça s'invente des pièges
Et ça compte ses morts
Ça se cherche une idole
Ça veut avoir une âme
Et ça cultive son corps
Ça s'appelle Pierre ou Paul
Ça se coule dans un moule
Ça se perd dans la foule
Ça pourrait être un homme
Ça s'appelle Pierre ou Paul
C'est bon quand c'est tout seul
C'est beau quand ça pardonne
Quand ça s'appelle un homme
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Jacques Bastello
Ça se balade en ville
Ça porte sa vie dans une poche
Ça ressemble à un prince
Ou bien ça ressemble à une cloche
Ça sourit aux enfants
Ça fait pleurer les femmes
Ça regrette mais ça fout le camp
Ça se file des coups
Ça se tombe dans les bras
Et ça se prend par le cou
Ça s'appelle Pierre ou Paul
Ça se coule dans un moule
Ça se perd dans la foule
Ça pourrait être un homme
Ça tire sur des passants
Ça gueule dans un micro
Ça se jette d'un pont
Ou bien ça s'en va sac au dos
Ça mesure les étoiles
Ça s'invente des pièges
Et ça compte ses morts
Ça se cherche une idole
Ça veut avoir une âme
Et ça cultive son corps
Ça s'appelle Pierre ou Paul
Ça se coule dans un moule
Ça se perd dans la foule
Ça pourrait être un homme
Ça s'appelle Pierre ou Paul
C'est bon quand c'est tout seul
C'est beau quand ça pardonne
Quand ça s'appelle un homme
Editons Thoobett
Durée : 02:30
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Les petits métiers
Qui font les nuits se coucher
Qui font les jours se lever
Qui font briller le fond des éviers
Les petits métiers
Qui nourrissent la planète
Entre dépense et recette
Sandwichs hamburgers à la sauvette
Les petits métiers
Qui de la vie améliorent
Les jardins et qui encore
Désherbent nos pierres après la mort
Les petits métiers
Qui se servent de leurs mains
Qui n'ont pas le temps de bien
Surfer dans l'univers de demain
Les petits métiers
Qui se pressent derrière la mode
Dernier cri qu'on raccommode
Pour une terre d'asile en exode
Les petits métiers
Qui s'assoient derrière leurs caisses
Qui attendent sans promesse
Un mot gentil teinté d'allégresse
Les petits métiers
Qui se faufilent derrière
Les coulisses des affaires
Dans l'idée d'épouser une carrière
Les petits métiers
Qui déchargent des camions
Qui branchent les lights et le son
Pour que s'illuminent mes chansons
Petits métiers
Immense humanité
Pilotis du monde
Aveugle et surmené
On peut toujours
Chanter que tout va changer
Les beaux discours
Ne tuent pas les petits métiers
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Les petits métiers
Qui font les nuits se coucher
Qui font les jours se lever
Qui font briller le fond des éviers
Les petits métiers
Qui nourrissent la planète
Entre dépense et recette
Sandwichs hamburgers à la sauvette
Les petits métiers
Qui de la vie améliorent
Les jardins et qui encore
Désherbent nos pierres après la mort
Les petits métiers
Qui se servent de leurs mains
Qui n'ont pas le temps de bien
Surfer dans l'univers de demain
Les petits métiers
Qui se pressent derrière la mode
Dernier cri qu'on raccommode
Pour une terre d'asile en exode
Les petits métiers
Qui s'assoient derrière leurs caisses
Qui attendent sans promesse
Un mot gentil teinté d'allégresse
Les petits métiers
Qui se faufilent derrière
Les coulisses des affaires
Dans l'idée d'épouser une carrière
Les petits métiers
Qui déchargent des camions
Qui branchent les lights et le son
Pour que s'illuminent mes chansons
Petits métiers
Immense humanité
Pilotis du monde
Aveugle et surmené
On peut toujours
Chanter que tout va changer
Les beaux discours
Ne tuent pas les petits métiers
Editons Thoobett
Durée : 02:36
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Romain Didier
Qu'est-ce qu'on attend de nous
Tu parles d'une question
Quand on paraît si mou
Devant la conviction
Que c'est bien d'être un homme
Qu'est-ce qu'on attend d'un homme
Toujours un peu plus sourd
À ce qui tient en éveil
Et se lève tous les jours
Oublieux de la veille
Qu'est ce qu'on attend de mieux
Au bar d'un TGV
Sur un quai de banlieue
Avant la mise à feu
D'une grève ferroviaire
La vie est un cadran
Un rond de camembert
A nonante-neuf pour cent
De matière ordinaire
Il y a des roses il y a des ronces
Y'a du piquant dans la réponse
Qu'est-ce qu'on attend de nous
C'est qui nous c'est qui on
À quel âge on s'en fout
De toutes ces questions
Qui nous prennent le cigare
Un jour on en a marre
On préfère le silence
C'est la peur du hasard
Qui choisit le bon sens
Et vient fermer les stores
En attendant la mort
On va se faire l'amour
Qui nous donne un peu plus
Mais on en fait le tour
En trouvant des astuces
Qu'est ce qu'il attend de moi
Qu'est ce qu'elle attend pour dire
Qu'il faut bien faire un choix
Dans la joie du moins pire
Il y a des roses il y a des ronces
Y'a du piquant dans la réponse
Qu'est-ce qu'on attend de moi
Qui rue dans les brancards
M'en prenant à la loi
La morale aux abois
Armé d'une guitare
Qu'est-ce que j'attends au fond
Cassandre en promotion
Dénonçant les appels
À la résignation
Qui font baisser les ailes
Dans cette catégorie
Il faut être un champion
Plus vous faites du bruit
Plus vous avez raison
On vous ouvre les portes
La foule vous transporte
Elle vous dit "bravo
Soyez notre gourou
C'est ce qu'on attend de vous"
Il y a des roses il y a des ronces
Y'a du piquant dans la réponse
Qu'est-ce qu'on attend de fort
En passant à la banque
En allant faire du sport
En battant des records
En faisant le saltimbanque
Après la mise au monde
Avant la mise au trou
Sur cette mappemonde
Qu'est-ce qu'on attend de nous
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Romain Didier
Qu'est-ce qu'on attend de nous
Tu parles d'une question
Quand on paraît si mou
Devant la conviction
Que c'est bien d'être un homme
Qu'est-ce qu'on attend d'un homme
Toujours un peu plus sourd
À ce qui tient en éveil
Et se lève tous les jours
Oublieux de la veille
Qu'est ce qu'on attend de mieux
Au bar d'un TGV
Sur un quai de banlieue
Avant la mise à feu
D'une grève ferroviaire
La vie est un cadran
Un rond de camembert
A nonante-neuf pour cent
De matière ordinaire
Il y a des roses il y a des ronces
Y'a du piquant dans la réponse
Qu'est-ce qu'on attend de nous
C'est qui nous c'est qui on
À quel âge on s'en fout
De toutes ces questions
Qui nous prennent le cigare
Un jour on en a marre
On préfère le silence
C'est la peur du hasard
Qui choisit le bon sens
Et vient fermer les stores
En attendant la mort
On va se faire l'amour
Qui nous donne un peu plus
Mais on en fait le tour
En trouvant des astuces
Qu'est ce qu'il attend de moi
Qu'est ce qu'elle attend pour dire
Qu'il faut bien faire un choix
Dans la joie du moins pire
Il y a des roses il y a des ronces
Y'a du piquant dans la réponse
Qu'est-ce qu'on attend de moi
Qui rue dans les brancards
M'en prenant à la loi
La morale aux abois
Armé d'une guitare
Qu'est-ce que j'attends au fond
Cassandre en promotion
Dénonçant les appels
À la résignation
Qui font baisser les ailes
Dans cette catégorie
Il faut être un champion
Plus vous faites du bruit
Plus vous avez raison
On vous ouvre les portes
La foule vous transporte
Elle vous dit "bravo
Soyez notre gourou
C'est ce qu'on attend de vous"
Il y a des roses il y a des ronces
Y'a du piquant dans la réponse
Qu'est-ce qu'on attend de fort
En passant à la banque
En allant faire du sport
En battant des records
En faisant le saltimbanque
Après la mise au monde
Avant la mise au trou
Sur cette mappemonde
Qu'est-ce qu'on attend de nous
Editons Thoobett
Durée : 03:41
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Un jour ou l'autre s'amène
Sans qu'on le voie venir
Le licenciement suprême
L'abandon des désirs
Adieu les îles à perpète
Les princes et les déesses
Les podiums la foule offerte
Bonjour tristesse
Finie la vie en flèche
Le goût pour la voltige
On a perdu la pêche
Réalisme oblige
C'est fini pour Syracuse
Salvador nous en veut
On se tricote des excuses
Au coin du feu
Mais Manhattan se porte à merveille
Manhattan couche avec le ciel
Manhattan n'a jamais de tels
Etats d'âme
On perd en grands sentiments
Ce qu'on gagne en principes
Y'a plus guère qu'au restaurant
Qu'on va sortir ses tripes
L'alcool nous monte à la tête
On se lève on s'excuse
Et voilà dans les toilettes
Qu'on pleure Syracuse
On s'en va prendre l'air
Ça fait rire les amis
Vite un Halka Seltzer
Allez c'est fini
Mais longtemps après minuit
Assis dans la cuisine
Nous tient toujours une envie
De très hauts buildings
Et Manhattan se porte à merveille
Manhattan couche avec le ciel
Manhattan n'a jamais de tels
Etats d'âme
Manhattan se porte à merveille
Manhattan danse avec le ciel
Manhattan n'a jamais de tels
Etats d'âme
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Un jour ou l'autre s'amène
Sans qu'on le voie venir
Le licenciement suprême
L'abandon des désirs
Adieu les îles à perpète
Les princes et les déesses
Les podiums la foule offerte
Bonjour tristesse
Finie la vie en flèche
Le goût pour la voltige
On a perdu la pêche
Réalisme oblige
C'est fini pour Syracuse
Salvador nous en veut
On se tricote des excuses
Au coin du feu
Mais Manhattan se porte à merveille
Manhattan couche avec le ciel
Manhattan n'a jamais de tels
Etats d'âme
On perd en grands sentiments
Ce qu'on gagne en principes
Y'a plus guère qu'au restaurant
Qu'on va sortir ses tripes
L'alcool nous monte à la tête
On se lève on s'excuse
Et voilà dans les toilettes
Qu'on pleure Syracuse
On s'en va prendre l'air
Ça fait rire les amis
Vite un Halka Seltzer
Allez c'est fini
Mais longtemps après minuit
Assis dans la cuisine
Nous tient toujours une envie
De très hauts buildings
Et Manhattan se porte à merveille
Manhattan couche avec le ciel
Manhattan n'a jamais de tels
Etats d'âme
Manhattan se porte à merveille
Manhattan danse avec le ciel
Manhattan n'a jamais de tels
Etats d'âme
Editons Thoobett
Durée : 03:37
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Jacques Bastello
C'était quelque part en province un soir de grande résolution
Faut savoir s'élever rebooster l'encéphale
Revaloriser l'Homme dans ce corps animal
Promis juré craché c'est sûr c'est bon
Sortez le droit chemin que je me rende à la raison
Y'avait cette tentation qui me parle une langue qui me touche
Son désir voulait seulement forcer l'issue de ma bouche
Mais voilà justement c'était un soir de grande résolution
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
Action vitesse orgasme ivresse
Un bon quota d'expériences au nom de la jeunesse
Mais il est bon pour son âme de se dégager de la tentation
C'est une affaire de choix entre plaire et se plaire
Oui mais choisir c'est exclure et exclure c'est soustraire
Plus je cède à la raison plus je goûte à la dépression
Aussi je me demande bien aujourd'hui pourquoi j'ai dit non
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
J'ai la patate en berne et le moral acide
Je sens que si ça continue ma vie va faire un bide
Je vois des jours qui passent des nuits vides
Un siècle qui s'avance sous un soleil impavide
Comme remède à ma mélancolie je ne vois qu'une solution
Je serai sage un jour je serai moine un jour
En attendant je fais l'avion
Aujourd'hui je lance un avis de recherche à la tentation
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
Cherchez-la
Trouvez-la
Rattrapez-la
Touchez-la
Tenez-la
Prenez-la
Embrassez-la
Aimez-la
Tentation
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Jacques Bastello
C'était quelque part en province un soir de grande résolution
Faut savoir s'élever rebooster l'encéphale
Revaloriser l'Homme dans ce corps animal
Promis juré craché c'est sûr c'est bon
Sortez le droit chemin que je me rende à la raison
Y'avait cette tentation qui me parle une langue qui me touche
Son désir voulait seulement forcer l'issue de ma bouche
Mais voilà justement c'était un soir de grande résolution
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
Action vitesse orgasme ivresse
Un bon quota d'expériences au nom de la jeunesse
Mais il est bon pour son âme de se dégager de la tentation
C'est une affaire de choix entre plaire et se plaire
Oui mais choisir c'est exclure et exclure c'est soustraire
Plus je cède à la raison plus je goûte à la dépression
Aussi je me demande bien aujourd'hui pourquoi j'ai dit non
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
J'ai la patate en berne et le moral acide
Je sens que si ça continue ma vie va faire un bide
Je vois des jours qui passent des nuits vides
Un siècle qui s'avance sous un soleil impavide
Comme remède à ma mélancolie je ne vois qu'une solution
Je serai sage un jour je serai moine un jour
En attendant je fais l'avion
Aujourd'hui je lance un avis de recherche à la tentation
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
Chassez la tentation
Elle revient la tentation
Cherchez-la
Trouvez-la
Rattrapez-la
Touchez-la
Tenez-la
Prenez-la
Embrassez-la
Aimez-la
Tentation
Editons Thoobett
Durée : 03:13
Paroles : Kent Cokenstock/H.P. Huguet
Musique : Kent Cokenstock
L'amour qui naît l'amour qui meurt
Une crise de larmes un bouquet de fleurs
Lui dire adieu ou bien l'aimer encore plus fort
Tout ça dépend de la couleur du temps
La vie qui va vers des jours meilleurs
La vie qui vient pleurer ses malheurs
Devenir combattant devenir déserteur
Tout ça dépend de la couleur du temps
Les vrais prophètes les charlatans
La fin d'une guerre un débarquement
L'envie d'être père l'envie de rester enfant
Tout ça dépend de la couleur du temps
Une vie qui se prend au sérieux
Une vie qui ne serait qu'un jeu
Les défis les offenses les amis les enjeux
Tout ça dépend de la couleur du temps
Le courage d'être plus ou moins vieux
Sans oublier les raisons de faire de son mieux
Une époque un instant
Et le même sentiment
Se partage en murmures
Se déchire en mourant
Même la couleur des gens
C'est bien moins important
Sur tous les continents
Que la couleur du temps
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock/H.P. Huguet
Musique : Kent Cokenstock
L'amour qui naît l'amour qui meurt
Une crise de larmes un bouquet de fleurs
Lui dire adieu ou bien l'aimer encore plus fort
Tout ça dépend de la couleur du temps
La vie qui va vers des jours meilleurs
La vie qui vient pleurer ses malheurs
Devenir combattant devenir déserteur
Tout ça dépend de la couleur du temps
Les vrais prophètes les charlatans
La fin d'une guerre un débarquement
L'envie d'être père l'envie de rester enfant
Tout ça dépend de la couleur du temps
Une vie qui se prend au sérieux
Une vie qui ne serait qu'un jeu
Les défis les offenses les amis les enjeux
Tout ça dépend de la couleur du temps
Le courage d'être plus ou moins vieux
Sans oublier les raisons de faire de son mieux
Une époque un instant
Et le même sentiment
Se partage en murmures
Se déchire en mourant
Même la couleur des gens
C'est bien moins important
Sur tous les continents
Que la couleur du temps
Editons Thoobett
Durée : 04:24
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Ça paraît une évidence dans la rue comme à la scène
La silhouette s'avance y'a des talons de la dentelle
On dit c'est de l'élégance c'est de la femme ça se veut belle
Mais plus loin qu'une apparence qui sonne creux quand on l'appelle
Ainsi soit-elle
Du bout de son âme à ses envies imprévues
Ainsi soit-elle
De "je t'aime" à "je ne t'aime plus"
Elle donne la vie comme elle vient elle connaît le prix du sang
Elle est une saison chaude pour les hivers d'un enfant
Ses seins chassent les nuages son ventre est un océan
Dans ses abysses le temps peut se perdre infiniment
Ainsi soit-elle
Du bout de son âme à ses envies imprévues
Ainsi soit-elle
Du bleu de ses peines au bonheur attendu
Ainsi soit-elle
De "je t'aime" à "je ne t'aime plus"
Elle joue la vie à la légère mais elle l'aime à perdre haleine
Dans le luxe d'une audace entre deux cernes cruelles
Elle est un moineau dans son nid qui grelotte faut qu'on l'étreigne
Elle est aussi une porte qui claque si je la refuse telle quelle
Telle quelle
Un homme souvent c'est quatre murs qui se retiennent de pleurer
Devant une pizza surgelée qui cache sa vérité
Tout un bien-être à venir est dans une félicité
Perdue dans des plis de pudeur qui l'empêche de déclarer
Ainsi soit-elle
Du bout de mon âme à mes envies imprévues
Ainsi soit-elle
Du bleu de mes peines au bonheur absolu
Ainsi soit-elle
On s'en fait trop on s'en fait moins
Et ça va comme ça
C'est déjà bien
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Ça paraît une évidence dans la rue comme à la scène
La silhouette s'avance y'a des talons de la dentelle
On dit c'est de l'élégance c'est de la femme ça se veut belle
Mais plus loin qu'une apparence qui sonne creux quand on l'appelle
Ainsi soit-elle
Du bout de son âme à ses envies imprévues
Ainsi soit-elle
De "je t'aime" à "je ne t'aime plus"
Elle donne la vie comme elle vient elle connaît le prix du sang
Elle est une saison chaude pour les hivers d'un enfant
Ses seins chassent les nuages son ventre est un océan
Dans ses abysses le temps peut se perdre infiniment
Ainsi soit-elle
Du bout de son âme à ses envies imprévues
Ainsi soit-elle
Du bleu de ses peines au bonheur attendu
Ainsi soit-elle
De "je t'aime" à "je ne t'aime plus"
Elle joue la vie à la légère mais elle l'aime à perdre haleine
Dans le luxe d'une audace entre deux cernes cruelles
Elle est un moineau dans son nid qui grelotte faut qu'on l'étreigne
Elle est aussi une porte qui claque si je la refuse telle quelle
Telle quelle
Un homme souvent c'est quatre murs qui se retiennent de pleurer
Devant une pizza surgelée qui cache sa vérité
Tout un bien-être à venir est dans une félicité
Perdue dans des plis de pudeur qui l'empêche de déclarer
Ainsi soit-elle
Du bout de mon âme à mes envies imprévues
Ainsi soit-elle
Du bleu de mes peines au bonheur absolu
Ainsi soit-elle
On s'en fait trop on s'en fait moins
Et ça va comme ça
C'est déjà bien
Editons Thoobett
Durée : 03:36
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Je paie des coups
J'oublie
Je donne des coups
Hin hin
J'en cherche aussi
J'oublie
Je tiens le coup
Hin hin
J'attends mon tour
100 fois par jour
Qu'on me colle une prime
D'adrénaline
Tout dans le style
Pour le mouvement
Va pour cette fille
Pas trop longtemps
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Je crois en rien
J'oublie
Pas fait d'études
Hin hin
Des certitudes
J'oublie
J'en sais trop rien
Hin hin
Un T-shirt noir
Peut-être un string
Elle tape une frime
Rêve en Jaguar
Elle dit son nom
Comment déjà
Va pour cette fille
Je m'ennuie déjà
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
J'oublie
J'oublie
J'oublie tout
J'oublie
J'oublie
J'oublie
J'oublie tout
J'oublie
100 fois par jour
J'attends mon tour
Qu'on me colle une prime
D'adrénaline
Passer la vie
Gagner du temps
Va pour cette fille
Pour le mouvement
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
J'oublie
J'oublie
J'oublie tout
J'oublie
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Je paie des coups
J'oublie
Je donne des coups
Hin hin
J'en cherche aussi
J'oublie
Je tiens le coup
Hin hin
J'attends mon tour
100 fois par jour
Qu'on me colle une prime
D'adrénaline
Tout dans le style
Pour le mouvement
Va pour cette fille
Pas trop longtemps
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Je crois en rien
J'oublie
Pas fait d'études
Hin hin
Des certitudes
J'oublie
J'en sais trop rien
Hin hin
Un T-shirt noir
Peut-être un string
Elle tape une frime
Rêve en Jaguar
Elle dit son nom
Comment déjà
Va pour cette fille
Je m'ennuie déjà
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
J'oublie
J'oublie
J'oublie tout
J'oublie
J'oublie
J'oublie
J'oublie tout
J'oublie
100 fois par jour
J'attends mon tour
Qu'on me colle une prime
D'adrénaline
Passer la vie
Gagner du temps
Va pour cette fille
Pour le mouvement
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
Mais faudrait pas que j'oublie
Faut pas que j'oublie
Qu'est-ce qu'il ne faut pas
Que j'oublie
J'oublie
J'oublie
J'oublie tout
J'oublie
Editons Thoobett