L'Homme de Mars
2008
Kent
Kent
L'Homme de Mars
L'Homme de Mars est un livre-disque, une histoire qui s'écoute et se regarde. C'est un space-opéra sonore et visuel qui allie musique et bande dessinée.
Il raconte à la manière des Lettres Persanes, les joies et les déconvenues d'un martien candide sur la planète Terre.
L'album fut réalisé dans la jubilation.
Jubilation de concevoir une histoire musicale avec prologue et épilogue.
Jubilation d'imaginer les arrangements comme une bande-son cinématographique.
Jubilation enfin d'illustrer les chansons en bandes dessinées.
L'enregistrement s'est fait au studio Juno à Yerres et aux studios de la radio magyar à Budapest pour les cordes et les percussions d'orchestre.
Les arrangements sont de Fred Pallem, le mixage est réalisé par Tchad Blake (Soul Coughing, Suzanne Vega, Latin Playboys, Peter Gabriel ...). Tchad Blake avait participé à l'enregistrement des albums Nouba et Cy
Choose 2023 top UK replica watches online site.
Top breitling replica watches UK online with practical functions for female and male watch wearers.
Durée : 01:07
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Je m'ennuie sur la planète rouge
Paraît que sur la planète bleue
Y'a des animaux qui se bougent
Ils sont divins, ils sont odieux
Je veux rencontrer ces farouches
Indigènes belliqueux
Qui s'embrassent à pleine bouche
Et font naître et mourir des dieux
Je m'fais transfuser du sang rouge
Teins en châtain mes cheveux bleus
Et quitte le Val de Mars où j'
Habite pour la planète bleue
J'arrive sur Terre un soir d'été
Dans une région tempérée
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Je m'ennuie sur la planète rouge
Paraît que sur la planète bleue
Y'a des animaux qui se bougent
Ils sont divins, ils sont odieux
Je veux rencontrer ces farouches
Indigènes belliqueux
Qui s'embrassent à pleine bouche
Et font naître et mourir des dieux
Je m'fais transfuser du sang rouge
Teins en châtain mes cheveux bleus
Et quitte le Val de Mars où j'
Habite pour la planète bleue
J'arrive sur Terre un soir d'été
Dans une région tempérée
Editions Thoobett
Durée : 03:26
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
Ici la vie est une vague
Qui traverse les océans
Une vague où des surfers divaguent
En équilibre sur le temps
Ici il y a aussi une plage
Où des pieds nus laissent des traces
Des itinéraires de passage
Que les grandes marées effacent
Je veux vivre
Longtemps
Ici et maintenant
Longtemps
Ici et maintenant
Ici le bonheur est une île
En attente au bout d'un trottoir
Un lagon bleu en centre-ville
Dans les yeux d'insouciants barbares
Ils dansent à l'appel de l'amour
Vêtus d'étoffes volatiles
Soulignant les moindres contours
De leurs émotions indociles
refrain
J'veux croire aussi à des promesses
Aux seins des filles, à leurs calices
Aux idéaux, aux allégresses
À la démission du cynisme
Je veux être un homme et une femme
Je veux être ni dieu ni maître
M'avancer sur le macadam
Pour mieux apprendre à te connaître
refrain
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
Ici la vie est une vague
Qui traverse les océans
Une vague où des surfers divaguent
En équilibre sur le temps
Ici il y a aussi une plage
Où des pieds nus laissent des traces
Des itinéraires de passage
Que les grandes marées effacent
Je veux vivre
Longtemps
Ici et maintenant
Longtemps
Ici et maintenant
Ici le bonheur est une île
En attente au bout d'un trottoir
Un lagon bleu en centre-ville
Dans les yeux d'insouciants barbares
Ils dansent à l'appel de l'amour
Vêtus d'étoffes volatiles
Soulignant les moindres contours
De leurs émotions indociles
refrain
J'veux croire aussi à des promesses
Aux seins des filles, à leurs calices
Aux idéaux, aux allégresses
À la démission du cynisme
Je veux être un homme et une femme
Je veux être ni dieu ni maître
M'avancer sur le macadam
Pour mieux apprendre à te connaître
refrain
Editions Thoobett
Durée : 03:33
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
C'est un pays grand comme la France
Avec des villes et des villages
Avec des bateaux de plaisance
Et des chalets dans les alpages
On y vit dans des paysages
À faire rêver le monde entier
Qui radine avec ses bagages
Il veut aussi en profiter
Y'a des pavillons "Sam Suffit"
Et des lotissements en carton
Des châteaux avec des piscines
Et des banlieues en perdition
Dans la campagne éclosent des
Enseignes aux couleurs idéales
Où de vieux enfants résignés
Font la queue pour gagner dix balles
Refrain (x2)
Welcome to my paradise
Le seul pays où l'amour
Kiss my lips and close your eyes
Peut rimer avec toujours
C'est un pays en minuscule
Détaché de sa capitale
Qui le trouve un peu ridicule
Du haut de son piédestal
Un pays qui va le week-end
Chiner des bouts d'éternité
Et brader ses joies et ses peines
Au marché des fatalités
C'est un pays avec des îles
Éparpillées dans la nature
Des pellicules sur les sourcils
D'un géant qui n'a plus d'armure
Et qui s'étonne avec colère
De la couleur de ses enfants
Souvenirs d'amours ancillaires
Du temps où c'était mieux avant
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
C'est un pays grand comme la France
Avec des villes et des villages
Avec des bateaux de plaisance
Et des chalets dans les alpages
On y vit dans des paysages
À faire rêver le monde entier
Qui radine avec ses bagages
Il veut aussi en profiter
Y'a des pavillons "Sam Suffit"
Et des lotissements en carton
Des châteaux avec des piscines
Et des banlieues en perdition
Dans la campagne éclosent des
Enseignes aux couleurs idéales
Où de vieux enfants résignés
Font la queue pour gagner dix balles
Refrain (x2)
Welcome to my paradise
Le seul pays où l'amour
Kiss my lips and close your eyes
Peut rimer avec toujours
C'est un pays en minuscule
Détaché de sa capitale
Qui le trouve un peu ridicule
Du haut de son piédestal
Un pays qui va le week-end
Chiner des bouts d'éternité
Et brader ses joies et ses peines
Au marché des fatalités
C'est un pays avec des îles
Éparpillées dans la nature
Des pellicules sur les sourcils
D'un géant qui n'a plus d'armure
Et qui s'étonne avec colère
De la couleur de ses enfants
Souvenirs d'amours ancillaires
Du temps où c'était mieux avant
Editions Thoobett
Durée : 00:37
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Afin de mieux cerner les bipèdes alentour
J'use à leur insu de mes pouvoirs télépathes
Je découvre alors par leurs intimes discours
Les soucis et les joies d'un peuple névropathe
Editions Thoobett/Warner Chappell
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Afin de mieux cerner les bipèdes alentour
J'use à leur insu de mes pouvoirs télépathes
Je découvre alors par leurs intimes discours
Les soucis et les joies d'un peuple névropathe
Editions Thoobett/Warner Chappell
Durée : 04:04
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
C'est tout à fait le genre d'époque
À terminer sur une civière
Après avoir mis en cloque
La petite fille de la Grande Guerre
C'est tout à fait la page d'Histoire
Qui va étonner après coup
Les enfants de vos avatars
Et vous f'ra passer pour des fous
Refrain (x2)
Pourtant j'en suis sûr
On a marché sur la Terre
Avant les années obscures
On y a vu de la lumière
C'est tout à fait le genre d'époque
Aux frontières de la galaxie
Qui va revendre un télescope
Pour s'offrir une chemise Gucci
C'est tout à fait le genre humain
À faire du wheeling dans l'impasse
Et à s'en remettre au divin
Pour éviter le mur d'en face
Refrain
Que reste-t-il de vos futurs
Dans les sous-sols de la SF
Des préavis et des ratures
Et des cosmonautes SDF
C'est tout à fait le genre d'histoire
Dont on a déjà lu la chute
Mais y a un bogue dans vos mémoires
Qui vous pousse à faire une rechute
Refrain
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
C'est tout à fait le genre d'époque
À terminer sur une civière
Après avoir mis en cloque
La petite fille de la Grande Guerre
C'est tout à fait la page d'Histoire
Qui va étonner après coup
Les enfants de vos avatars
Et vous f'ra passer pour des fous
Refrain (x2)
Pourtant j'en suis sûr
On a marché sur la Terre
Avant les années obscures
On y a vu de la lumière
C'est tout à fait le genre d'époque
Aux frontières de la galaxie
Qui va revendre un télescope
Pour s'offrir une chemise Gucci
C'est tout à fait le genre humain
À faire du wheeling dans l'impasse
Et à s'en remettre au divin
Pour éviter le mur d'en face
Refrain
Que reste-t-il de vos futurs
Dans les sous-sols de la SF
Des préavis et des ratures
Et des cosmonautes SDF
C'est tout à fait le genre d'histoire
Dont on a déjà lu la chute
Mais y a un bogue dans vos mémoires
Qui vous pousse à faire une rechute
Refrain
Editions Thoobett
Durée : 03:55
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Jacky a peur d'un futur flou
Il se voit sur le quai du métro
Station couchée station debout
Et le monde entier qui lui tourne le dos
Longtemps Jacky pour tenir bon
A maté la vie à travers
Les bouteilles de vin et de bourbon
Mais c'est fini car il veut voir clair
Désormais
Jacky aime les gens comme ils sont
Avec des rides et des traits de caractère
Aux canons de la séduction
Il préfère les gueules d'atmosphère
Quand il bouscule il dit pardon
Il laisse sa place dans l'ascenseur
Il ne ferait pas de mal à un con
Alors on le traite de loser
En amour Jacky a un bogue
Il n'aime pas que pour le cul
Pour lui l'amour n'est pas une drogue
Qui se consomme à flux tendu
Sa femme le quitte elle le déteste
Elle l'abandonne à ses popsongs
Elle ne supporte pas les modestes
Qui traversent la vie en tongs
Jacky aime la vie comme elle vient
Mais elle ne vient plus voir Jacky
Le voilà qui lui colle au train
Pour ne pas tomber dans l'oubli
Le temps de saisir une chance
De trouver le bon numéro
Qui va donner à son existence
Un sacré coup de vibrato
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Jacky a peur d'un futur flou
Il se voit sur le quai du métro
Station couchée station debout
Et le monde entier qui lui tourne le dos
Longtemps Jacky pour tenir bon
A maté la vie à travers
Les bouteilles de vin et de bourbon
Mais c'est fini car il veut voir clair
Désormais
Jacky aime les gens comme ils sont
Avec des rides et des traits de caractère
Aux canons de la séduction
Il préfère les gueules d'atmosphère
Quand il bouscule il dit pardon
Il laisse sa place dans l'ascenseur
Il ne ferait pas de mal à un con
Alors on le traite de loser
En amour Jacky a un bogue
Il n'aime pas que pour le cul
Pour lui l'amour n'est pas une drogue
Qui se consomme à flux tendu
Sa femme le quitte elle le déteste
Elle l'abandonne à ses popsongs
Elle ne supporte pas les modestes
Qui traversent la vie en tongs
Jacky aime la vie comme elle vient
Mais elle ne vient plus voir Jacky
Le voilà qui lui colle au train
Pour ne pas tomber dans l'oubli
Le temps de saisir une chance
De trouver le bon numéro
Qui va donner à son existence
Un sacré coup de vibrato
Editions Thoobett
Durée : 03:51
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Tu t'en vas chaque jour
À chaque anniversaire
Je vois mieux tes contours
Tu vois mieux tes repères
Tu changes sans changer
Tu tournes autour du thème
Celui qu'on a aimé
Est bien celui qu'on aime
Nous découvrons en chœur
Au vent des expériences
Que perd ton cœur en fleur
Les pétales de l'enfance
Moi, je fais de mon mieux
Sur le temps que tu gagnes
Pour rester dans le jeu
Sans trop tomber en panne
Je pense trop déjà
Sur l'air d'une tristesse
A quand tu t'en iras
Déjanter ta jeunesse
Tenter les interdits
Dont je t'ai fait la liste
J'aurais peur de tes nuits
De déséquilibriste
Tu seras mon contraire
Quand je fus ton semblable
Je serai l'ordinaire
L'ennui du confortable
Faudra que je patiente
Un temps donné trop long
T'auras la veine ardente
Moi, j'aurai mes raisons
On s'fera des histoires
On s'couvrira de givre
Tu n'voudras plus me croire
J'f'rai semblant de te suivre
L'entente reviendra
On rangera les armes
On repartagera
Des rires et quelques larmes
Tu prendras la voiture
Pour balader des filles
Tu feras bonne figure
Dans une autre famille
Et parfois les dimanches
Au petit-déjeuner
Sortira de ta chambre
Une exclusivité
Tu es le grand mystère
Que je connais le mieux
Le genre de courant d'air
À vous piquer les yeux
Quand traîne le regard
Sur un geste surpris
Qui libère du mitard
La mémoire endormie
Nous serons tout nous dire
Sans trafiquer les mots
Sans même rien nous dire
Un clin d'œil et banco
Et du même œil ouvert
Clôturant l'épigramme
Tu verras que ta mère
Est aussi une femme
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Tu t'en vas chaque jour
À chaque anniversaire
Je vois mieux tes contours
Tu vois mieux tes repères
Tu changes sans changer
Tu tournes autour du thème
Celui qu'on a aimé
Est bien celui qu'on aime
Nous découvrons en chœur
Au vent des expériences
Que perd ton cœur en fleur
Les pétales de l'enfance
Moi, je fais de mon mieux
Sur le temps que tu gagnes
Pour rester dans le jeu
Sans trop tomber en panne
Je pense trop déjà
Sur l'air d'une tristesse
A quand tu t'en iras
Déjanter ta jeunesse
Tenter les interdits
Dont je t'ai fait la liste
J'aurais peur de tes nuits
De déséquilibriste
Tu seras mon contraire
Quand je fus ton semblable
Je serai l'ordinaire
L'ennui du confortable
Faudra que je patiente
Un temps donné trop long
T'auras la veine ardente
Moi, j'aurai mes raisons
On s'fera des histoires
On s'couvrira de givre
Tu n'voudras plus me croire
J'f'rai semblant de te suivre
L'entente reviendra
On rangera les armes
On repartagera
Des rires et quelques larmes
Tu prendras la voiture
Pour balader des filles
Tu feras bonne figure
Dans une autre famille
Et parfois les dimanches
Au petit-déjeuner
Sortira de ta chambre
Une exclusivité
Tu es le grand mystère
Que je connais le mieux
Le genre de courant d'air
À vous piquer les yeux
Quand traîne le regard
Sur un geste surpris
Qui libère du mitard
La mémoire endormie
Nous serons tout nous dire
Sans trafiquer les mots
Sans même rien nous dire
Un clin d'œil et banco
Et du même œil ouvert
Clôturant l'épigramme
Tu verras que ta mère
Est aussi une femme
Editions Thoobett
Durée : 04:02
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Il y a des nuits de Chine
Dans tes yeux perdus dans le vague
Des filles longilignes
Et un voilier qui fend les vagues
Aussi de la violence
Des nuits dehors, des coups de poing
Et le hasard immense
Qui fait frémir les lendemains
Comme George Bailey
Ton cœur est plus grand que ta vie
Tu te verrais
Conquérant d'un monde inouï
Mais tu te tiens tranquille
Comme George Bailey
Quand tu es dans la lune
Penché au bord de l'univers
Tu gagnes des fortunes
Sur un simple coup de poker
En silence tu oses
Des coups d'état, des fronts rebelles
Monica te propose
De passer la nuit avec elle
refrain
New York, Andy Warhol
À chacun son quart d'heure de gloire
Tu n'as pas eu le rôle
Que tu te donnais dans l'histoire
L'amour, la famille, un ami
Te retiennent te rappellent
Et le rêve tourne court
Mais, à part ça, la vie est belle
Comme George Bailey
Ton cœur est plus grand que ta vie
Tu te verrais
Conquérant d'un monde inouï
Tu pourrais mais
Ici tu te sens utile
Alors tu te tiens tranquille
Comme George Bailey
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Il y a des nuits de Chine
Dans tes yeux perdus dans le vague
Des filles longilignes
Et un voilier qui fend les vagues
Aussi de la violence
Des nuits dehors, des coups de poing
Et le hasard immense
Qui fait frémir les lendemains
Comme George Bailey
Ton cœur est plus grand que ta vie
Tu te verrais
Conquérant d'un monde inouï
Mais tu te tiens tranquille
Comme George Bailey
Quand tu es dans la lune
Penché au bord de l'univers
Tu gagnes des fortunes
Sur un simple coup de poker
En silence tu oses
Des coups d'état, des fronts rebelles
Monica te propose
De passer la nuit avec elle
refrain
New York, Andy Warhol
À chacun son quart d'heure de gloire
Tu n'as pas eu le rôle
Que tu te donnais dans l'histoire
L'amour, la famille, un ami
Te retiennent te rappellent
Et le rêve tourne court
Mais, à part ça, la vie est belle
Comme George Bailey
Ton cœur est plus grand que ta vie
Tu te verrais
Conquérant d'un monde inouï
Tu pourrais mais
Ici tu te sens utile
Alors tu te tiens tranquille
Comme George Bailey
Editions Thoobett
Durée : 00:26
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Mmh ! Ces indigènes sont attachants
Voulant m'immerger toujours plus
Au cœur des sentiments humains
Un jour de la Saint-valentin
J'aborde une fille dans un bus
Je joue l'amour et le lui fais
Et tombe dans mon propre piège
Je l'aime trop et je l'assiège
De mon délit, je suis l'objet
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Mmh ! Ces indigènes sont attachants
Voulant m'immerger toujours plus
Au cœur des sentiments humains
Un jour de la Saint-valentin
J'aborde une fille dans un bus
Je joue l'amour et le lui fais
Et tombe dans mon propre piège
Je l'aime trop et je l'assiège
De mon délit, je suis l'objet
Editions Thoobett
Durée : 04:03
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Un jour, Noir Dès', un jour, Gainsbourg
Un jour, elle baise, un jour, l'amour
Elle joue la braise et le velours
Un jour, en vrac, un jour, jolie
Un jour, en fac, un jour, au lit
Elle suit la courbe de ses envies
Mon étudiante
Lit des magazines et Murakami
Mon étudiante
Cherche de quel signe est l'homme de sa vie
Un jour, sa thèse, un jour, actrice
Véronèse ou Romain Duris
Les parenthèses au cannabis
Un jour, c'est moi, un jour, c'est lui
Elle fait son choix, elle fait sa vie
Je pense à elle et elle m'oublie
Mon étudiante
Raconte sa vie au téléphone
Mon étudiante
Se pose des questions qui la chiffonnent
Si elle rate son année
Est-ce que c'est la fin du monde
Si elle gagne un peu d'blé
Ira-t-elle au bout du monde
Si elle se teint les ch'veux
Est-ce qu'elle sera mieux en blonde
Et quel effet ça fait
De mettre au monde
Mon étudiante
Grille une cigarette pour tromper l'ennui
Mon étudiante
Aim'rait que je disparaisse de sa vie
Mon étudiante...
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Un jour, Noir Dès', un jour, Gainsbourg
Un jour, elle baise, un jour, l'amour
Elle joue la braise et le velours
Un jour, en vrac, un jour, jolie
Un jour, en fac, un jour, au lit
Elle suit la courbe de ses envies
Mon étudiante
Lit des magazines et Murakami
Mon étudiante
Cherche de quel signe est l'homme de sa vie
Un jour, sa thèse, un jour, actrice
Véronèse ou Romain Duris
Les parenthèses au cannabis
Un jour, c'est moi, un jour, c'est lui
Elle fait son choix, elle fait sa vie
Je pense à elle et elle m'oublie
Mon étudiante
Raconte sa vie au téléphone
Mon étudiante
Se pose des questions qui la chiffonnent
Si elle rate son année
Est-ce que c'est la fin du monde
Si elle gagne un peu d'blé
Ira-t-elle au bout du monde
Si elle se teint les ch'veux
Est-ce qu'elle sera mieux en blonde
Et quel effet ça fait
De mettre au monde
Mon étudiante
Grille une cigarette pour tromper l'ennui
Mon étudiante
Aim'rait que je disparaisse de sa vie
Mon étudiante...
Editions Thoobett
Durée : 03:36
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Goodbye
Le Sélénite et la Vénusienne
Les rendez-vous de la vie martienne
L'étoile lointaine
Goodbye
Les noces de diamant sur la Lune
Le collier en anneaux de Saturne
La nuit sur Neptune
J'ai la nostalgie de l'avenir
Je rêve d'un futur où revenir
Un monde en apesanteur idéale
Dont je serais l'étonnant résident sidéral
Goodbye
Le grand voyage vers Jupiter
Les belles vacances au clair de la Terre
Les années-lumière
Goodbye
Vers l'infini et même au-delà
Aucun ovni ne vient plus vous voir ici-bas
Dans vos favelas
J'ai la nostalgie de l'avenir
Je cherche un futur où revenir
Un monde en apesanteur idéale
Dont je serais l'étonnant résident sidéral
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Goodbye
Le Sélénite et la Vénusienne
Les rendez-vous de la vie martienne
L'étoile lointaine
Goodbye
Les noces de diamant sur la Lune
Le collier en anneaux de Saturne
La nuit sur Neptune
J'ai la nostalgie de l'avenir
Je rêve d'un futur où revenir
Un monde en apesanteur idéale
Dont je serais l'étonnant résident sidéral
Goodbye
Le grand voyage vers Jupiter
Les belles vacances au clair de la Terre
Les années-lumière
Goodbye
Vers l'infini et même au-delà
Aucun ovni ne vient plus vous voir ici-bas
Dans vos favelas
J'ai la nostalgie de l'avenir
Je cherche un futur où revenir
Un monde en apesanteur idéale
Dont je serais l'étonnant résident sidéral
Editions Thoobett
Durée : 00:39
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Ouais, goodbye le goût de l'évasion
Bonjour l'asphyxie de l'amour
Ce goût de smog au petit jour
Le cœur qui meurt par combustion
À trop aimer j'ai pris des tonnes
Une amnésie me court-circuite
Brouillant toutes mes lignes de fuite
J'étais martien, je suis atone
À l'instar du Silver Surfer
J'ai perdu la capacité
De déserter la stratosphère
Je suis devenu terre-à-terre
Et j'entretiens avec la mort
D'étranges liens d'intimité
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Ouais, goodbye le goût de l'évasion
Bonjour l'asphyxie de l'amour
Ce goût de smog au petit jour
Le cœur qui meurt par combustion
À trop aimer j'ai pris des tonnes
Une amnésie me court-circuite
Brouillant toutes mes lignes de fuite
J'étais martien, je suis atone
À l'instar du Silver Surfer
J'ai perdu la capacité
De déserter la stratosphère
Je suis devenu terre-à-terre
Et j'entretiens avec la mort
D'étranges liens d'intimité
Editions Thoobett
Durée : 04:23
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
Et si l'on parlait d'elle
Puisqu'elle viendra un jour
Que l'on fuie son appel
Qu'on lui fasse la cour
Qu'il y ait un au-delà
Ne change rien pour elle
Elle nous veut nous aura
Le temps est avec elle
Elle nous suit pas à pas
Elle nous tient par la manche
Attentive aux faux-pas
À la raison qui flanche
Elle sait se faire attendre
Et se faire oublier
Elle adore nous surprendre
Elle adore nous épier
Ho ho Miss Monde
Ho ho Miss Monde
Elle nous aime n'importe où
Dans un lit une auto
Dans la rue sur le coup
Ou très tard ou trop tôt
Elle n'écoute jamais
Nos choix nos préférences
Elle jouit de nos excès
Nos désobéissances
refrain
Toutes nos inventions
Toutes nos résistances
Pour lui tenir front
Relèvent de la romance
Plus le temps rétrécit
Plus les nuits me font mal
En face de cet ennemi
Qui tue même les étoiles
Et quand on reste seul
Quand elle a fait le vide
Recouvrant de linceuls
Nos souvenirs languides
Nous laissant centenaire
À l'ombre des années
Sans aucun partenaire
Avec qui les passer
refrain
Editions Thoobett/Warner Chappell
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
Et si l'on parlait d'elle
Puisqu'elle viendra un jour
Que l'on fuie son appel
Qu'on lui fasse la cour
Qu'il y ait un au-delà
Ne change rien pour elle
Elle nous veut nous aura
Le temps est avec elle
Elle nous suit pas à pas
Elle nous tient par la manche
Attentive aux faux-pas
À la raison qui flanche
Elle sait se faire attendre
Et se faire oublier
Elle adore nous surprendre
Elle adore nous épier
Ho ho Miss Monde
Ho ho Miss Monde
Elle nous aime n'importe où
Dans un lit une auto
Dans la rue sur le coup
Ou très tard ou trop tôt
Elle n'écoute jamais
Nos choix nos préférences
Elle jouit de nos excès
Nos désobéissances
refrain
Toutes nos inventions
Toutes nos résistances
Pour lui tenir front
Relèvent de la romance
Plus le temps rétrécit
Plus les nuits me font mal
En face de cet ennemi
Qui tue même les étoiles
Et quand on reste seul
Quand elle a fait le vide
Recouvrant de linceuls
Nos souvenirs languides
Nous laissant centenaire
À l'ombre des années
Sans aucun partenaire
Avec qui les passer
refrain
Editions Thoobett/Warner Chappell
Durée : 03:47
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
J'aurai vu ce monde, je l'ai vu
Tomber sous les balles dans la rue
Au carnaval de l'allégresse
Au milieu de la foule en liesse
J'aurai espéré, j'aurai cru
Par-delà vos rêves en latex
Au nouvel homme trouvant l'issue
Avant les larmes et les Kleenex
Happiness et moi
C'est pas vraiment la joie
Quand je l'aime, j'ai du mal
À regarder en face
Le monde autour de moi
La joie de vivre descend l'avenue
En coupé sport et en dos nu
Grillant les feux rouges au passage
La joie de vivre n'est pas sage
Elle hoche la tête en cadence
À l'énoncé de vos souffrances
Elle oubliera les cris d'alarme
Au rayon de la lingerie de charme
refrain
Quand elle ira sur les glaciers fondus
Chercher en vain la source d'un avenir
La joie de vivre, brûlant ses accus
Sans autre but que d'avoir du plaisir
Sera fauchée sans avoir rien vu venir
Mais sans le goût des illusions perdues
Sans le goût des illusions perdues
Sans le goût des illusions perdues
Sans le goût des illusions perdues
Perdues
refrain
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock/Fred Pallem
J'aurai vu ce monde, je l'ai vu
Tomber sous les balles dans la rue
Au carnaval de l'allégresse
Au milieu de la foule en liesse
J'aurai espéré, j'aurai cru
Par-delà vos rêves en latex
Au nouvel homme trouvant l'issue
Avant les larmes et les Kleenex
Happiness et moi
C'est pas vraiment la joie
Quand je l'aime, j'ai du mal
À regarder en face
Le monde autour de moi
La joie de vivre descend l'avenue
En coupé sport et en dos nu
Grillant les feux rouges au passage
La joie de vivre n'est pas sage
Elle hoche la tête en cadence
À l'énoncé de vos souffrances
Elle oubliera les cris d'alarme
Au rayon de la lingerie de charme
refrain
Quand elle ira sur les glaciers fondus
Chercher en vain la source d'un avenir
La joie de vivre, brûlant ses accus
Sans autre but que d'avoir du plaisir
Sera fauchée sans avoir rien vu venir
Mais sans le goût des illusions perdues
Sans le goût des illusions perdues
Sans le goût des illusions perdues
Sans le goût des illusions perdues
Perdues
refrain
Editions Thoobett
Durée : 02:53
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Qu'est-ce que je fous dans cette boîte
Un verre d'oubli à la main
L'orchestre est bon, les filles sont moites
Je devrais me sentir bien
J'ai vu le monde il y a un quart d'heure
J'en ai plus que pour dix minutes
J'ai à peine frôlé le bonheur
J'ai peut-être eu le tort d'y voir un but
Faut que je sorte sur le boulevard
La nuit est bruyante et striée par les phares
Je vais vers le parking où j'ai garé ma soucoupe
Je veux m'enfuir avant l'arrivée des troupes
Je suis couvert d'autocollants avec des phrases définitives
Qui m'invitent à goûter de tout jusqu'à ce que mort s'ensuive
Tiens, justement la voilà qui passe
En Subaru, vitres teintées
Jantes en alu, tablier surbaissé
Scandant des oraisons en fréquence infrabasse
Elle répand sa pulsion qui bat le macadam
Traverse les blousons et martèle les crânes
Et croyant la tenir en respect de la sorte
Usant des décibels et de la manière forte
Toute une palette d'hommes et de femmes
Montent au créneau et se rétament
Je pense à cet ami qui s'est découvert
Un locataire dans la cage thoracique
Et qui, comme moi, se vaporisait
Dans des jeux de hasard esthétiques
Il prenait consistance en larguant des volutes
On refaisait le bas-monde et le procès des fils de putes
En faisant rire des filles et en vidant des flûtes
Il est seul aujourd'hui dans son lit
À jouer au bras de fer avec un crabe
Il avait bien rempli sa vie
Mais le meilleur reste à venir
Le meilleur est toujours à venir
Le meilleur c'est du rab
J'enfile mon casque et ma combi
Je vérifie la pression du niveau de vie
Je ne suis plus de ce monde à vif
Ou c'est un mauvais rêve
Mars est à 300 millions de bornes juste après le périph'
Mon raid sur Terre s'achève
Editions Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Qu'est-ce que je fous dans cette boîte
Un verre d'oubli à la main
L'orchestre est bon, les filles sont moites
Je devrais me sentir bien
J'ai vu le monde il y a un quart d'heure
J'en ai plus que pour dix minutes
J'ai à peine frôlé le bonheur
J'ai peut-être eu le tort d'y voir un but
Faut que je sorte sur le boulevard
La nuit est bruyante et striée par les phares
Je vais vers le parking où j'ai garé ma soucoupe
Je veux m'enfuir avant l'arrivée des troupes
Je suis couvert d'autocollants avec des phrases définitives
Qui m'invitent à goûter de tout jusqu'à ce que mort s'ensuive
Tiens, justement la voilà qui passe
En Subaru, vitres teintées
Jantes en alu, tablier surbaissé
Scandant des oraisons en fréquence infrabasse
Elle répand sa pulsion qui bat le macadam
Traverse les blousons et martèle les crânes
Et croyant la tenir en respect de la sorte
Usant des décibels et de la manière forte
Toute une palette d'hommes et de femmes
Montent au créneau et se rétament
Je pense à cet ami qui s'est découvert
Un locataire dans la cage thoracique
Et qui, comme moi, se vaporisait
Dans des jeux de hasard esthétiques
Il prenait consistance en larguant des volutes
On refaisait le bas-monde et le procès des fils de putes
En faisant rire des filles et en vidant des flûtes
Il est seul aujourd'hui dans son lit
À jouer au bras de fer avec un crabe
Il avait bien rempli sa vie
Mais le meilleur reste à venir
Le meilleur est toujours à venir
Le meilleur c'est du rab
J'enfile mon casque et ma combi
Je vérifie la pression du niveau de vie
Je ne suis plus de ce monde à vif
Ou c'est un mauvais rêve
Mars est à 300 millions de bornes juste après le périph'
Mon raid sur Terre s'achève
Editions Thoobett
Durée : 03:33
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Les autres parlent à leurs portables
Et sourient aux caméras
Leur vie est plus supportable
Si on les suit pas à pas
Mais pas moi
Les autres s'intéressent au sport
Ils vont crier dans les stades
Ils aiment les gens sains de corps
Même s'ils ont l'esprit malade
Mais pas moi
Je ne suis pas né sur Terre
La nature m'a fait une farce
Je me sens seul et j'ai l'air
D'arriver tout droit de la
Planète Mars
Les autres admirent les winners
Même si ce sont des salauds
Ils disent qu'on a souvent tort
De vouloir être réglo
Mais pas moi
Les autres pensent que la révolte
C'est bon quand on a 20 ans
Ils disent, quoi que l'on vote
C'est blanc bonnet bonnet blanc
Mais pas moi
Je suis l'homme venu d'ailleurs
Je suis l'homme par contumace
Renvoyez-moi l'ascenseur
Que je retourne sur la
Planète Mars
Pour tous les messages que je laisse
Auxquels tu ne réponds pas
Pour mon regard dans les miroirs
Sur ce type que je ne suis pas
Pour mes illusions perdues
Comme des larmes dans l'espace
Je m'en vais sur la planète Mars
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Kent Cokenstock
Les autres parlent à leurs portables
Et sourient aux caméras
Leur vie est plus supportable
Si on les suit pas à pas
Mais pas moi
Les autres s'intéressent au sport
Ils vont crier dans les stades
Ils aiment les gens sains de corps
Même s'ils ont l'esprit malade
Mais pas moi
Je ne suis pas né sur Terre
La nature m'a fait une farce
Je me sens seul et j'ai l'air
D'arriver tout droit de la
Planète Mars
Les autres admirent les winners
Même si ce sont des salauds
Ils disent qu'on a souvent tort
De vouloir être réglo
Mais pas moi
Les autres pensent que la révolte
C'est bon quand on a 20 ans
Ils disent, quoi que l'on vote
C'est blanc bonnet bonnet blanc
Mais pas moi
Je suis l'homme venu d'ailleurs
Je suis l'homme par contumace
Renvoyez-moi l'ascenseur
Que je retourne sur la
Planète Mars
Pour tous les messages que je laisse
Auxquels tu ne réponds pas
Pour mon regard dans les miroirs
Sur ce type que je ne suis pas
Pour mes illusions perdues
Comme des larmes dans l'espace
Je m'en vais sur la planète Mars
Editons Thoobett
Durée : 03:35
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Je voulais voir la vie en rouge
Un soleil jaune dans un ciel bleu
J'ai vu de tout et je vois rouge
J'ai des hématomes et des bleus
J'ai voulu voir la vie en rouge
J'ai vu des larmes et des peurs bleues
L'humanité vit dans un bouge
Qui s'appelait la planète bleue
Editons Thoobett
Paroles : Kent Cokenstock
Musique : Fred Pallem
Je voulais voir la vie en rouge
Un soleil jaune dans un ciel bleu
J'ai vu de tout et je vois rouge
J'ai des hématomes et des bleus
J'ai voulu voir la vie en rouge
J'ai vu des larmes et des peurs bleues
L'humanité vit dans un bouge
Qui s'appelait la planète bleue
Editons Thoobett